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Belgique
Etude des possibilités d’amélioration des systèmes de production à base de légumineuses alimentaires (niébé-arachide) dans la zone agro-écologique du Fakara, Sud-ouest du Niger
Titre : Etude des possibilités d’amélioration des systèmes de production à base de légumineuses alimentaires (niébé-arachide) dans la zone agro-écologique du Fakara, Sud-ouest du Niger
Auteur : GARBA ABDOU Mahamadou
Etablissement de soutenance : Gembloux - Université de Liège
Grade : DIPLOME D’ETUDES SPECIALISEES EN GESTION DES RESSOURCES ANIMALES ET VEGETALES EN MILIEUX TROPICAUX 2007
Résumé
« Etude des possibilités d’amélioration des systèmes de production à base de légumineuses alimentaires (niébé-arachide) dans la zone agro-écologique du Fakara, Sud-ouest du Niger ».Cette étude est réalisée afin de mieux appréhender la problématique générale des systèmes de production au niveau des organisations paysannes du Fakara. Pour aborder ce thème la méthodologie adaptée consiste en l’analyse des données issues d’une étude réalisée dans la zone en 2005 sur les systèmes de production d’agriculture et élevage au sein desquels le niébé et l’arachide prennent une part non négligeable. Ensuite nous avons complété nos informations via d’autres bases de données, notamment la bibliothèque de la Fusagx et l’internet. La méthode nous a permis de comprendre que ces systèmes de production sont surtout composés d’un sous-système agricole, un sous-système élevage et un sous-système familiale .Le sous-système agricole est basé essentiellement sur la culture des céréales, surtout le mil. Les légumineuses alimentaires notamment le niébé et l’arachide, occupent la deuxième place dans ce système. La place du niébé est primordiale, on le rencontre toujours en association avec le mil. Il constitue une importante source de protéine pour les producteurs. Quant à l’arachide, elle constitue une source de revenus importante pour les femmes qui le produisent en culture pure. Il faut noter également que ces légumineuses jouent un rôle important dans l’amélioration de la fertilité des sols par la fixation de l’azote atmosphérique. L’élevage est la deuxième activité de la zone, en effet 70% des animaux qui sont avec les éleveur s appartiennent aux agriculteurs. Nos propositions d’amélioration concernent d’abord l’intensification de la culture de slégumineuses alimentaires ; le développement des synergies entre l’agriculture et l’élevage et la mise en place d’un mécanisme de sécurisation des récoltes à travers le « warrantage » permettant une bonne organisation de la commercialisation des denrées au profit des producteurs.
Page publiée le 21 mars 2023